martedì 12 giugno 2007
mal di testa
je ne reussis pas à étudier, à fermer ma tete dans les pages immobiles d’un livre inutile. Il me suffirait de parler avec quelqun, de rire ensemble et de ne pas pourrir su un bureau en faux bois blanc. c’est inutile, je me sents seule. Je sais que je dois attendre la fine des examens et l’unique façon de sourvivre c’est remplir l’attente en étudiant le plus possible
Bien que mes dents se puisssent plonger dans le jaune d’une peche mure, je voudrais pleurer, des larmes amères, sans aucune raison. J’ai decouvri ce que je savais déjà, mais que je preferais oublier, que ce que je suis en trian de faire ne sert à rien. RIEN.
Je l’ai trouvé le post où je rigolais de ma copine au téléphone et je me demande comme j’avais fait pour trouver le bonheur. j’ai mal au ventre maintenaint. c’est tards. c’est la faute aux examens c’est la faute à moi. je ne peux pad résistir parmi des murs roses et blancs, sur un parquet taché, je ne peux pas vivre assise! je veux me bouger, chanter, parler hurler, toucher, embrasser, conduir, rire, fumer, cuisiner, voir, vivre, ne pas rester ici avec une vieille encyclopedie dechirée. seule. le téléphone muet, au maximum une voix qui me demande si tout va bien, si j’ai pas bu car c’est un cuop de tel plutot bizar. non, je ne bois pas seule, sans personne je me limité à avaler litres de thé, mais je suppose que personne n’a envore trouvé des effects psychotropiques. soeur qui rentre, en regardant le portable elle prefere une prière fausse et hypocrite à s’arreter parler avec moi. je n’a autre solution que lire Aristote sur l’esclavage des anciens, en me trasformant dans une esclave bete, qui decide de sa volonté de se faire emprisonner par rejoindre un objectif dont elle s’en fiche.
Bien que mes dents se puisssent plonger dans le jaune d’une peche mure, je voudrais pleurer, des larmes amères, sans aucune raison. J’ai decouvri ce que je savais déjà, mais que je preferais oublier, que ce que je suis en trian de faire ne sert à rien. RIEN.
Je l’ai trouvé le post où je rigolais de ma copine au téléphone et je me demande comme j’avais fait pour trouver le bonheur. j’ai mal au ventre maintenaint. c’est tards. c’est la faute aux examens c’est la faute à moi. je ne peux pad résistir parmi des murs roses et blancs, sur un parquet taché, je ne peux pas vivre assise! je veux me bouger, chanter, parler hurler, toucher, embrasser, conduir, rire, fumer, cuisiner, voir, vivre, ne pas rester ici avec une vieille encyclopedie dechirée. seule. le téléphone muet, au maximum une voix qui me demande si tout va bien, si j’ai pas bu car c’est un cuop de tel plutot bizar. non, je ne bois pas seule, sans personne je me limité à avaler litres de thé, mais je suppose que personne n’a envore trouvé des effects psychotropiques. soeur qui rentre, en regardant le portable elle prefere une prière fausse et hypocrite à s’arreter parler avec moi. je n’a autre solution que lire Aristote sur l’esclavage des anciens, en me trasformant dans une esclave bete, qui decide de sa volonté de se faire emprisonner par rejoindre un objectif dont elle s’en fiche.
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